Une grève nationale du service public a touché la Belgique ce 31 mai. A la clé, des secteurs publics à l’arrêt et de fortes perturbations dans les transports en commun. Cette journée d’action nationale voulait dénoncer un malaise dans le secteur public. Les syndicats réclamaient notamment davantage de pouvoir d’achat, d’investissements et un renforcement des pensions.
Un peu partout en Belgique des mobilisations ont eu lieu pour défendre les services publics qui sont en danger, estiment les syndicats. Des travailleurs ont également tenu à dénoncer la pénibilité de leur métier. C’est notamment le cas des travailleurs d’une intercommunale de gestion des déchets de la région de Charleroi.
L’impact de la grève nationale sur les transports en commun était important et variable en fonction des régions. Seul un quart des trains circulait en Belgique et même aucun train dans les provinces de Liège, Namur et Luxembourg.
En raison de cette grève des services publics et des perturbations dans les bus, trams, métros et trains, c’était souvent la galère pour les étudiants pour se rendre à leurs examens. Certains étudiants ont pu trouver une alternative alors que pour d’autres c’était le royaume de la débrouille. Certains étudiants ne comprennent d’ailleurs pas pourquoi l’enseignement supérieur et les universités n’étaient pas non plus en grève par solidarité. La Fédération des Etudiants Francophones s’est d’ailleurs étonnée que les examens ne soient pas levés ce 31 mai malgré la grève.
#servicepublic #grève
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Révolution, nn a la macroni extrémiste radicale
Courage à eux PS la journaliste es toujours aussi magnifique 🌹👍
Ils se sont croisés les doigts car ça porte bonheur.
A mort l'ultralibéralisme cancer du monde !
Curieux comme dans notre pays les traités et directives européennes visant aux privatisations tous azimuts sont aussi facilement acceptés.
C'est le projet européen plus service public que du privé 🤔