Face à l’urgence climatique, faut-il désobéir ? Félicien Bogaerts en est convaincu. Le jeune animateur (Classic 21, Plan Cult…) et activiste de la cause écologique est l’invité de l’émission « Alors, on Change » !
Connu dans le milieu pour ses lives et posts décapants sur sa page « Le biais vert », il a sa définition de l’écologie : un rapport sensible au vivant. Se mettre en danger pour le préserver, c’est pour lui une question de survie de l’humanité. Il a décidé d’agir plutôt que de subir en silence.
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Marcher pour le climat en Belgique et porter des fringues de deuxième main sur son vélo, c’est quand même moins risqué, moins antisystème, que de refuser de laisser sa place à un blanc dans un état ségrégationniste. Greta la marcheuse en chef a quand même été invitée à l’ONU et à Davos.
Les Anglaises à partir de 30 ans ont pu voter en 1918. Les femmes belges devront attendre encore 30 ans ; mais dans notre plat pays, le suffrage universel masculin ne fut qu’en 1919.
La non violence est, hélas, un leurre que nous vendent les institutions étatiques qui y voient une manière de faire croire qu'il cède quelque chose à la volonté du "peuple"…L'état ne se prive d'ailleurs jamais d'user de violence à l'égard de ceux qui le conteste. Allez expliquer aux ouvriers de 1936 qu'il fallait y aller en douceur avec les capitalistes pour arracher les acquis sociaux dont nous profitons de moins en moins. RTBF, la voix de son maître qui parle d'écologie pour mieux faire la pub des aberrations qui se déroulent en pleine nature à Spa Francorchamps.